Quand les belges essai de faire bouger les choses, ils n'y vont pas de mains mortes ...
http://fr.news.yahoo.com/64/20081201/tw ... b1c83.html
2 voitures pour le prix d'une
2 voitures pour le prix d'une
Oui j'ai vu ça aux infos ce midi, ils expliquaient que les 407 ne se vendaient plus du tout depuis un moment mais qu'avec cette offre, ça allait rebooster leurs ventes !
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chez nous pareil
c'est Chrysler la semaine derniere pendant 4 jours dans certaine concession a l'achat d'une 300C il donne une dodge caliber pour 1 $ de plus
jalau a écrit :oui si c'est vrai qu'avec cette opération, s'ils sont encore rentable (ce dont je doute fortement) c'est vraiment un scandale
Ben s'ils vendent pas (même pas cher), ils ont les coûts de stockage, et le vieillissement de la voiture, donc il vaut mieux pour eux vendre quelques voitures "à perte" (si tant est qu'ils perdent) que de les garder 6 mois en magasin ou en stockage
nasp a écrit :A quand une 2 ou une 3 gratuite pour l'achat d'une 8?
Quand il y aura des 8 neuves en vente donc jamais
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- Pascalito
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Le phénomène développé par l'AFP :
Dans un contexte de morosité économique peu propice aux dépenses, certaines entreprises ont trouvé la parade en proposant des "ventes couplées" à leurs clients, dans des secteurs touchés par le ralentissement économique, comme l'immobilier ou le secteur automobile.
Ainsi, un célèbre concessionnaire belge propose depuis peu d'offrir à ses clients deux voitures pour le prix d'une, avec un slogan sans ambiguïté: "Le secteur automobile est en crise, Cardoen vous offre une deuxième voiture gratuite".
Sur son site internet, l'entreprise belge, qui se félicite de "l'énorme succès" de cette opération, explique que "grâce à la crise, les parkings des constructeurs sont surchargés", et que par conséquent, il est temps d'en profiter.
Les initiatives se sont aussi multipliées ces dernières semaines dans le secteur de l'immobilier.
Pour l'achat d'un logement, certains clients du Groupe Maisons Pierre et de sa filiale Wagram Résidences ont pu ainsi bénéficier d'une voiture d'une valeur de 9.000 euros. D'autres se sont vu offrir les frais de notaire liés à leur transaction, ou encore des avantages en nature.
Parallèlement, BNP Paribas Immobilier a lancé sa "Box-Immo", un coffret d'avantages destinés aux clients investissant dans des biens immobiliers avec à la carte un plafonnement des frais de dossier, des assurances à prix cassés, ou encore l'installation d'une alarme de protection.
Autre nouveauté, le site braderie-immobilier.com offre à tout client qui achète un logement une cuisine équipée, ou encore une fois les frais de notaire associés à la transaction.
Enfin, la société Credixia, qui se présente comme "un courtier en prêts immobiliers low-cost", propose depuis peu d'intervenir gratuitement pour ses clients, assurant tirer sa rémunération directement de "la banque qui fera l'offre de crédit la plus avantageuse".
Philippe Moati, professeur d'économie à l'Université Paris-Diderot et membre du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Crédoc), n'est pas surpris par l'apparition de ce genre de pratiques qu'il juge "potentiellement dangereuses".
"En période de mauvaise conjoncture, lorsqu'une entreprise a du stock en main et qu'il lui brûle les doigts, elle va rechercher plus encore que d'habitude à faire du chiffre d'affaires à coup de promotions", souligne-t-il.
Mais pour ce chercheur, "ce genre de pratiques jette un doute sur tout le système de prix et génère de la défiance à l'égard du système économique et de ses acteurs".
Au-delà des promotions, certaines enseignes ont su surfer sur le thème de la crise en détournant ce sujet d'actualité grave pour en faire un argument marketing.
Ainsi, une chaîne de grands magasins du Royaume-Uni a mis en vente son chocolat "credit crunch", terminologie anglaise utilisée pour caractériser le durcissement des conditions de crédit qui sévit depuis la crise financière.
Du côté des voyagistes, Nouvelles Frontières a opté pour des promotions ciblées allant jusqu'à -40% . Le ton de la campagne sur les "prix de crise" est décalé: "des centaines de milliards viennent de s'envoler. Faites la même chose", suggère la filiale du groupe Tui Travel.
© 2008 AFP
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evilspoon a écrit :heu...moi ce qui me choque c'est qu'il est encore rentable
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Çà fait combien de temps qu'ils se foutent de notre gueule avec le prix des bagnoles ???
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avec le prix de tout de toute façon...
D'après certaines informations, le coefficient entre le prix de revient d'une bagnole et le prix de vente : 7x. Donc c'est pas très dur de filer 2 bagnoles pour le prix d'une, ils font encore de la marge.
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Garder une voiture en stock coûte de l'espace et augmente la valeur globale du stock ce qui entrâine des coûts de gestion important.
Vaut mieux s'en débarasser donc...
Les garages qui proposent un 2 pour 1 ne gagnent pas de l'argent (les marges sont effectivement serrées même pour eux), mais ils en perdent moins
coupefx a écrit :Un ami travaillant comme vendeur dans une concession luxembourgeoise m'a parlé de 2000 euros de marge sur une voiture neuve
Oui, mais comme le disait Nasp, c'est la marge du concessionnaire (l'argent que le garage touche pour vendre une voiture).
Il a lui même acheté ses voitures au constructeur à un prix proche du prix de vente (2000€ de moins, hors taxes et préparation, dans ton exemple).
Par contre, fabriquer une voiture ne coute pas 20.000€.
Outre le prix de la main d'oeuvre et des matières premières (incompressibles), le prix de vente constructeur intègre une "marge constructeur" (le bénef du fabricant) et des amortissements de couts fixes (typiquement, le coût de la R&D et des outils de production).
Lorsque le constructeur à du stock, il peut annuler sa marge de vente en liquidant les voitures à des "grossistes", et peut même aller en dessous en éliminant du prix de vente une partie des ammortissements grâce à des opérations comptables (opération de réduction de valeur des stocks).
Ce qu'il fait que quand il vend une voiture à moitié prix, il s'y retrouve quand même.
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Corvette Z06 + Honda CBR1000RR + Ford Mondeo 2l boite auto (cherchez l'intrus) ;-)