rajoutons de l'eau au moulin global 
Chez les développeurs de durits pour acheminement de l'essence, il est vrai que les essais sont un poil plus corrosif avec de l'E85 qu'avec du SP98. Cependant, il est a noter que le textile (50% de dilution de la durit) est atteint en 31 ans (essais d'endurance) avec le SP98 et en 30 ans avec l'E85...
Les japonais ont depuis bien longtemps "sur dimenssioné" les caoutchoucs afin de ne pas avoir de fuites ou de glisses de durit (si je ne m'abuse, personne sur ce forum n'as eu ce genre de panne). Donc Honda, Mazda, Toyota... pour n'en citer que quelques un de ce coin, sont bien au fait et ne prennent pas de risques.
Pour ma part, j'ai plus peur de la gestion électronique. Les températures de fonctionnement sont trop basses pour une attaque chimique à haute température (oxydation par les atomes d’oxygène contenus dans l'alcool). Les métaux d'une manière générale ne sont pas très sensibles face à l'oxydation alcoolique (à rappeler que les réservoirs étaient en acier sur de nombreuses automobiles, et sont encore dans certains cas particuliers).
Maintenant, je rejoints la personne qui à levé le loup, à savoir, qui a fait un réel essai, sur banc de puissance, en surveillant les constantes (richesse, débit d'essence...), pour savoir comment se comporte réellement le rototo ?